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recettes romaines

Les recettes romaines c’est le nom de cette page où j’ai regroupé quelques plats et essayé d’en retracer l’histoire tout en vous expliquant les réaliser. Chaque plat est le résultat de croisements millénaires, de mélange de peuples qui ont apporté sur les tables des menus aux saveurs intenses et authentiques. La cuisine traditionnelle romaine est basée sur des ingrédients simples d’origine paysanne, préparés selon des recettes souvent passées de génération en génération, des plats transmis de mère en fille. Les recettes romaines sont préparées avec des ingrédients de la campagne romaine, des légumes et des fruits de saison. Le climat méditerranéen offre des fruits et légumes frais toute l’année. En plus, la terre est très fertile et productive, la production est variée et abondante. Donc voici quelques recettes romaines que vous pourrez facilement essayer de préparer. 

Il Maritozzo

maritozzo romano

Le maritozzo est un dessert aux origines lointaines. Il ressemble à un petit pain légèrement sucré farci de crème fraîche. Il se compose d’ingrédients simples, mais il sait ravir tous les palais, ceux des petits et comme ceux des grands. Les origines du Maritozzo remontent à l’époque antique. Alors, les femmes préparaient des petits pains sucrés pour les maris qui partaient travailler dans les champs. Au Moyen Age le déjeuner des paysans est devenu « Er Santo Maritozzo » ou le « Quaresimale ». (Lire la suite)

Pollo alla cacciatora

Parmi les plats typiques de l’Italie centrale et donc aussi de Rome on compte le « pollo alla cacciatora ». Ce plat typique est né à la campagneSon nom pollo alla cacciatora, poulet à la manière des chasseurs, lui vient peut être de l’utilisation d’ail, de vin et de romarin. Ces mêmes éléments que les chasseurs utilisaient autrefois pour assaisonner leurs gibiers au moment de leur capture. Ce plat typique est né entre le XIVe et le XVIe siècle, on le consomme à l’occasion des fêtes ou de moments spéciaux. Le secret pour réussir un poulet parfait réside dans la cuisson. Le « pollo alla cacciatora  » doit cuire à feu doux, afin que les ingrédients libèrent toutes leurs saveurs. (lire la suite)

Les sucreries de Carnaval

Les castagnole sont des sucreries de Carnaval. On les trouve avec les chiacchiere, les zeppole uniquement pendant cette période. Quelques ingrédients simples suffisent pour les préparer et en quelques minutes elles sont prêtes à être dégustées. Ces bouchées croustillantes sont à déguster chaudes plutôt que froides. Après les avoir frites, il faut les arroser d’une cascade de sucre. Les frappe ou les Chiacchiere c’est une délicieuse pâte feuilletée frite saupoudrée de sucre poudre qui avec les Castagnole forment le dessert de Carnaval. Elles ont toutes des noms différents dans les différentes régions d’Italie. A Rome on les appelle Frappe, Bugie dans le Piémont, Crostoli ou Galani en Vénétie, en Toscane elles deviennent Cenci. (En savoir plus)

La veille de Noel

repas de la veille de Noel
Que mange-t-on la veille de Noël

La veille de Noël à Rome, ça se fête à table. Dans de nombreuses familles romaines, les traditions culinaires ne se sont pas perdues. Il y a une série de plats typiques que les romains mangent à souper la veille de Noël. Ce sont des plats qui s’enseignent de mères à filles, des recettes que les arrière-grands-mères et les grands-mères ont transmises d’années en années. Ce qui est certain c’est que la veille de Noël on ne mange pas de viande, tous les menus sont à base de poisson. On commence par un bouillon d’arzilla et brocolis. C’est une soupe chaude à base de pâtes et de brocolis. Ou bien on peut préférer des spaghetti à la vongole ou au thon ou un bouillon de poulet. Généralement on continue par une friture En savoir plus

La carbonara

On ne sait pas vraiment quand est née la Carbonara. Mais ce plat porte un nom lié aux carbonari. C’étaient de gens très pauvres qui vivaient dans les bois du latium et qui fabriquaient du charbon de bois. Ils allumaient du feu aux marges des forêts et brûlaient du bois très lentement. Sont-ils les inventeurs de la Carbonara. Ont-ils créé ce plat simple qui se compose de cinq ingrédients ? Des pâtes courtes ou longues, du bacon (mais les italiens préfèrent le guanciale), du pecorino, des œufs, du poivre. Jamais de la crème fraîche, jamais. C’est un sacrilège. Les Carbonari étaient aussi les membres d’une association secrète, née dans le Règne des Deux Sicile au début du XIXe siècle. En savoir plus

Caccio e pepe

Un plat romain

A Rome, les pâtes sont une religion. La cuisine romaine est essentiellement centrée sur le premier plat, les pâtes, plus précisément la carbonara, l’amatriciana, la gricia et cacio e pepe. Parmi celles-ci, les pâtes qui incarnent la véritable essence romaine sont les pâtes cacio e pepe. Des pâtes, du poivre et du pecorino, voici les ingrédients, rien de plus. C’est un plat apparemment simple, même ne vous y trompez pas. Nombreuses sont les trattorie, les osterie qui vous proposent ce plat car, ici, à Rome, Cacio e pepe c’est une institution, C’est comme le Colisée, la coupole de saint Pierre, la Louve et les jumeaux. Ce plat conserve l’âme populaire de la ville éternelle grandiose et majestueuse mais qui n’a jamais oublié ses humbles origines. En savoir plus

Les tagliatelle

Les cheveux de Lucrèce Boegia

Cet article qui nous parle des tagliatelles de Lucrèce Borgia, n’a rien à voir avec les talents culinaires de la fille du pape Alexandre VI. Probablement la belle Borgia ne savait pas cuisiner. Mais elle aimait manger. Il semblerait que ses plats préférés étaient le paon farci aux anguilles, les haricots « all’uccelletto » et le brochet en bouillon. Cette histoire est liée au troisième mariage de Lucrèce Borgia. Son premier mari était Giovanni Sforza, conte de Pesaro. Le mariage n’aurait jamais été consommé. Son deuxième mari c’était le bien-aimé Alphonse d’Aragon. Il fut étranglé par un tueur à gage embauché par Cesare Borgia, le frère de Lucrèce, pour faire place au troisième mari. En effet, César Borgia, le frère de Lucrèce, et le pape Alexandre VI, le père de Lucrèce, avaient organisé. En savoir plus

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